Bolivie : L’Altiplano et l’Amazonie bolivienne

 

Le 15 juillet 2018 j’ai pris l’avion direction la Bolivie. J’y ai découvert une culture très différente. Différente à beaucoup de niveaux mais si humainement enrichissante. Être confrontée à d’autres réalités et à d’autres habitudes qui me font voir les choses sous un autre angle. J’ai été fascinée par la beauté des paysages mais également par la beauté intérieure des personnes que j’y ai rencontré. Accueillie et intégrée dès mon arrivée, c’est grâce à cela que j’ai pu en découvrir autant. On le dit souvent, il n’y a rien de tel que de visiter une ville où un pays avec des locaux. J’avais la chance de connaître des gens sur place et je confirme, ça change tout! Premièrement j’ai visité La Paz pour ensuite également découvrir Tiahuanaco, Rurrenabaque, Copacabana et Sucre entre autre.


La Paz est tellement immense, des rues et des rues dans tous les sens. Ne pas connaître une ville et être émerveillée à chaque fois que je tourne dans une nouvelle ruelle. Qu’y a-t-il d’aussi agréable que de se laisser vagabonder dans une ville sans se soucier d’où l’on va; juste découvrir un maximum de ce qu’il y a à voir. De temps à autre, monter dans le téléférique pour observer la ville du haut. On voit monter et descendre dans tout la Paz les minibus remplis à craquer, des voitures se déplaçant dans tous les sens et des personnes marcher d’un bout à l’autre de cette ville comme des fourmis dans une fourmilière.

Je ressors un peu plus grande de ce voyage, qui a été mon premier voyage seule si je peux le dire comme ça. Première fois que je prenais l’avion seule pour changer de continent et partir pour le coup, vraiment à l’autre bout du monde. J’ai le sentiment d’avoir une plus grande compréhension du monde qui m’entoure. Et c’est avec pleins de souvenirs dans la tête qu’à chaque fois je repense à ce pays.

 

 

 

 

 

La Paz

 

 

 

 

 

Tiahuanaco

 

 

 

 

 

 

Rurrenabaque, Amazonie

 

 

 

 

 

 

Copacabana, Lac Titicaca

 

 

 

 

 

 

Sucre

 

 

 

 

 

On se voit vite, chère Bolivie…

 

 

 

 

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